A Naples
Ernest Pignon-Ernest parcours les rues et recouvre les murs de dessins taille réelle." J'ai tendance à penser que Naples, les Napolitains, leur mode de vie, leur organisation, leur philosophie, constituent une espèce de conservatoire vivant des valeurs de notre culture humaniste, la dernière tribu d'irréductibles, disait Pasolini, inflexible face au rouleau compresseur du système anglo-saxon, médiatique et libéral. La mort, ses représentations et les rites qu'elle suscite depuis le fond des temps se rencontrent à chaque pas dans les rues... Je suis allé là-bas pour interroger notre culture. "
http://www.pignon-ernest.com/
A Naples
A st Denis
me permettait de ne pas figer l'image du poète."
Les ArborigènesJardin des plantes, Paris 1983-1984
"Ce sont des figures d'hommes et de femmes en leur nudité végétative.
Ces sculptures sont des accumulations de cellules végétales mises en forme :
il leur faut du soleil, de l'eau, sinon elles meurent, elles se dessèchent,
se décomposent. C'est du végétal à forme humaine"
Ces sculptures sont des accumulations de cellules végétales mises en forme :
il leur faut du soleil, de l'eau, sinon elles meurent, elles se dessèchent,
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