lundi 10 décembre 2012

Bertrand lavier

Salvador Dalí expo à Paris

Lors de cette exposition, cet « homme de spectacle » nous livre quelques secrets de sa personnalité, ses craintes et ses attentes ; les œuvres blasphématoires ainsi que les œuvres paranoïaque-critique font ainsi part d’une conscience perturbée de l’a



Installation dédiée à Rita Mae West


jeudi 6 décembre 2012

Lou Ros

50x65cm, techniques mixtes sur papier Lou Ros 2011


50x65cm, techniques mixtes sur papier
Lou Ros 2011


Studio.  2012

Studio. 2012


BD2; 92x73cm, technique mixte sur toile Lou Ros 2012
BD2; 92x73cm, technique mixte sur toile Lou Ros 2012

Lou Ros, ce jeune homme de 26 ans, a commencé à peindre dès l'âge de 17 ans. Il a d'abord graffé par amusement entre copains sur les murs des immeubles avec des sprays. Mais très tôt ce jeu est devenu pour lui une véritable addiction. Par la suite le simple tag rapide et spontané qu’il réalisait au début à la hâte a laissé la place à des œuvres plus élaborées et plus conséquentes comme les fresques murales.
S’il a appris à peindre sur le tas sans passer par des écoles d’Art, il ressent aussi rapidement les limites de cet art de la rue car lui-même reconnait « qu’il y a une éthique de l’esthétique du beau et de la répétition qui a fini par m’ennuyer. Faire une belle peinture c’est ennuyant alors que faire une peinture qui a de la force c’est tout autre chose. J’ai donc commencé à peindre chez moi. »  

lundi 29 octobre 2012

Deborah Oropallo






Dans tous les tirages, la vaste symbolisme du portrait classique est utilisée, ce qui soulève des questions sur le genre, le costume, la fantaisie, la puissance, le pouvoir et la hiérarchie












 Deborah Oropallo (né Hackensack, New Jersey, 1954) est passé de la peinture traditionnelle  à l'intégration  numériques d' images dans son travail créant des toiles imprimées


elle nous dit: «Je me sers de l'ordinateur comme outil, mais la peinture est la langue de délibération qui me trotte dans la tête. Je ne veux pas simplement repeindre une illustration de ce que l'ordinateur peut faire, mais pour pousser les pixels eux-mêmes que de la peinture, et à l'imagerie couche et les voiles pour créer la profondeur et le volume. Comme la peinture, ce processus peut s'engager des nuances et des subtilités. et la possibilité de modifier une image de façon à aucun autre média ne peut offrir ou à prévoir"

samedi 7 juillet 2012

Dorothée Golz


Dorothée Golz décompose les codes de la représentation féminine et masculine d’un siècle à l’autre. La renaissance vient s’intégrer au contexte contemporain avec un langage corporel et vestimentaire actuel.








vendredi 29 juin 2012

KERRY HALLAM - bateau sur carte marine




KERRY HALLAM
"Cape Canaveral Nautical Chart"

Hallam's Straits of Mackinac


Hallam's Oahu 

Hallam's Entrance to San Francisco Bay 

Puget Sound 



Brant Point, Nantucket

mardi 26 juin 2012

bureau_mazarin_en_marqueterie_1338548135451113
Bureau Mazarin en marqueterie d'écaille et de laiton en première et contre-patrie. Époque Louis XIVPhoto Tajan

jeudi 21 juin 2012

Eugéne Louis Boudin

Eugène Louis Boudin, On Deauville Beach

Eugène Louis Boudin, Le Port du Camaret

Le Port du Camaret


Eugène Louis Boudin, Paysage avec vaches
paysage avec des vaches



Eugène Louis Boudin
né Honfleur, France, 1824, décédé Deauville, France, 1898
Près de la plage de Trouville


Eugène Louis Boudin, Crinolines sur la plage, Trouville

Crinolines sur la plage, Trouville


Eugène Louis Boudin, Trouville. Scéne de plage

Eugène Louis Boudin, Quatre Femmes a la Plage

Eugène Louis Boudin, Trouville

Eugène Louis Boudin, Fisherwomen at Brest
a brest


Eugène Louis Boudin, Le Rivage de Villerville, maree basse
Villerville

Fichier: Fishemen Berck à marée basse Eugène Louis Boudin.jpeg

vendredi 15 juin 2012

Alfred Eisenstaedt

Photo par Alfred Eisenstaedt. «Les enfants Regarde St. George Tuer le Dragon au Théâtre de marionnettes aux  Tuileries," Paris, 1963



Les enfants au théâtre de marionnettes à Paris. Photo par Alfred Eisenstaed t
 
 
 
 
Audience of Children Sitting Very Still, with Rapt Expressions, Watching Puppet Show at Tuileries Reproduction photographique sur papier de qualité 

mercredi 16 mai 2012

Menus Plaisirs en son décor en bois.
 
De tradition, et parce que lié au caractère mobile de la Cour qui va de château en château, multipliant, ici et là, les fêtes données en toutes occasions (anniversaires, naissance, mariages, visites d'hôtes de marque,) et pour l'ordinaire qui est lui aussi rythmé par des bals, spectacles, et autres manifestations soulignant la majesté du souverain autour duquel toute cette vie festive s'organise, et avec la complicité d'artistes qui retrouvent là le rôle du décorateur de théâtre, on construit des baraques en bois qui sont l'écrin de décors raffinés et certaines d'entre eux (conçus par Pierre-Adrien Paris), vont resservir dans l'aménagement de la cour de l'Hôtel des Menus Plaisirs de Versailles en 1789 pour l'Assemblée des trois ordres.
Etrange destin que celui d'un décor conçu pour des fêtes et qui devient le cadre de quelques unes des plus essentielles décisions sur lesquelles nous vivons encore en donnant l'exemple.
Et c'est bien l'étrange sort donné à des décors, conçus pour la fête et ses débordements, qui entrent dans l'apparat voulu par un pouvoir qui se cherche des repères, un cadre digne de lui.
Chardin défiant le temps.
"Chardin est hors de l'Histoire, il ne conte que la sienne. Celle d'un homme centré sur l'essentiel et dans le quotidien, le rien, ou ce qui passe pour l'être. Il est le frère de la servante qui vit dans la douce lumière des cuivres bien polis par le soleil, dans la grâce naturelle d'enfants sages qui attendent le repas, dans un foyer que rien ne semble perturber."

Affiche lacérée

L'affiche lacérée, l'alliance de la lettre et de la couleur.
Fernand Léger, au début du XX° siècle, alors qu'il incarnait la modernité  avait porté son attention sur le mur. Le mur, support d'une expression picturale qui n'avait rien à voir avec la peinture murale classique. On le considérait en tant qu'oeuvre d'art spontané (publicités, affiches) à quoi s"ajoute bientôt l'intérêt que l'on porte au graffiti.
Imaginons la jonction de tous ces éléments, un chatoiement des couleurs et des formes porté par l'affiche et l'apport occasionnel, accidentel, spontané, des éléments climatique (pluie, vent), de la main du passant qui intervient sur l'affiche, en déchire des morceaux, y ajoute une écriture qui est celle de la hâte, voire de la protestation.

Un art est né, celui de l'affiche lacérée:
Quelques artistes des années 60 (Villéglé, Hains, Rotella, Vostell, Dufrène) ce sont spécialisés dans cette quête de l'affiche comme support artistique d'un geste créateur qui s'incarne dans l'arrachage, lui même devenant un élément intervenant dans un résultat où jouent le hasard, le rythme même de la rue.
 Car cet art  est étroitement lié à la vie urbaine. Il s'inscrit dans la hâte, la fébrilité du climat de la ville et retrouve quelque chose de la rudesse des éléments, tout comme la peinture qui lui est contemporaine et se résume à sa seule émergence sur la toile (Fautrier, Dubuffet).
L'attrait de cet art c'est qu'il mêle forme et mots, couleurs et matières (l'épaisseur créée par les couches successives des affiches collées les unes sur les autres). Il devient le territoire de cette alliance aléatoire et qui est une obsession de l'art : cette rencontre du mot et de la forme. C'est aussi le règne de la lettre, ce support du rêve (que l'on songe à Mallarmé, aux dadaïstes). Un support sans limites.

Yoshiume

























Yoshiume