My favorite pictures , paintings and song by Olivier JAMES at Fontenay sous bois - France - Docere et delectare ou "mon musée imaginaire" .
samedi 9 novembre 2013
blog de Kévin Roualland dessinateur
jeudi 20 juin 2013
mercredi 12 juin 2013
Philippe Tertrais à Fontenay sous bois
Expo de Fontenay sous bois.
Pascale Marchesini-Arnal, philippe Tertrais, et Gregor podgorski
au vernissage à la maison du citoyen à Fontenay sous bois.
les aveugles de philippe Tertrais
Expressionniste, Figuratif
Fille du feu.
Philippe Tertrais :
samedi 25 mai 2013
Danièle Fuchs
Nous venons d'apprendre le décès de Danièle Fuchs à la suite d'un cancer
pulmonaire à 82 ans.Elle avait expliqué que c'était du aux émanations des produits qu'elle
utilisait pour sa peinture (elle faisait aussi des vitraux).
Danièle Fuchs est Peintre elle était née le 16 mai 1931 à Paris XIVe, aquarelliste et graveur de grand talent, ayant largement dépassé les cinquante ans de peinture, elle continuait avec la même fougue et la même passion à parcourir les régions de France qui lui était si chères et à dépasser les frontières pour satisfaire sa curiosité et son imagination, découvrir de nouveaux paysages ou de nouveaux défis architecturaux.
Descendante d’une lignée célèbre de spécialistes horticoles, Fuchs s’en montre digne en peignant comme personne les trésors des jardins : rosiers anciens, volubilis, renoncules et autres hortensias.
Danièle Fuchs s’éloigne régulièrement de ce paradis fleuri pour parcourir le pay de loir ou elle a une maison. Elle sait rendre le charme des vieilles pierres, des ruelles biscornues, des maisons remplies d’histoires. Elle a posé son chevalet partout où son œil d’artiste décelait une lumière, une poésie, un charme particuliers. Ses aquarelles très dessinées fourmillent de détails et de trésors cachés qui se révèleront à l’œil attentif. Quant à ses peintures, exubérantes et hautes en couleurs, elles sont le parfait reflet de son amour de la nature.
Cognacier du Japon
- 1958 Prix Albert Dürer de l’Institut National des Beaux-arts ; médaille d’argent de la Ville de Taverny
- 1959 Prix Chenavard de l’Institut
- 1960 Prix du Cercle François Ier, Fontainebleau
- 1961 Grand Prix de peinture du Conseil Général des 3 Salons d’Art de Seine-et-Oise
- 1966 Prix de Gravure du Musée de l’Ile-de-France, Sceaux ; prix de la Ville de Taverny
- 1976 Prix Taylor
- 1977 Prix Gillot-Dard
- 1985 Grand Prix Jean-des-Vignes-Rouges, Académie de Versailles ; Médaille d’Or de la Ville de Tours, de la Société d’Horticulture, Grand Prix de la Ville de Sainte-Maure-de-Touraine
- 2008 Médaille d’argent de la Société Nationale des Beaux-arts
LES ROSES trémières
cheneaux lavandes
rosier ronsard
O
Pauline - Joséphine dans le clocher - Aquarelle de Danièle Fuchsla Chartre sur le loir ou elle vint souvent depuis la seconde guerre
Danièle Fuchs, lors d'une exposition à la galerie Vanaura de Versailles en 2011
La galerie de crecy
Danièle Fuchs est décédée..
mardi 2 avril 2013
vendredi 15 mars 2013
Aaron Smith
http://vimeo.com/46987308
Aaron Smith est un peintre originaire de Los Angeles, qui a fait ses études au Art Center College of Design de Pasadena. Voici sa dernière vidéo.
Aaron Smith est un peintre originaire de Los Angeles, qui a fait ses études au Art Center College of Design de Pasadena. Voici sa dernière vidéo.
Aaron Smith est un peintre américain diplômé d’un BFA au Art Center College of Design de Pasadena en Californie. Il développe depuis une peinture aux épais coups de pinceaux et à la palette colorée voir aux couleurs saturée. Ses sujets de prédilection : Les dandys du 19ème siècle. Dans sa série «Bearded Blokes» il s’intéresse aux différentes sortes de barbe & moustaches des aristocrates de l’époque.
mardi 5 mars 2013
Edwige Fouvry
Tableau d' Edwige Fouvry à la Dolby Chadwick Gallery.
Art by Edwige Fouvry in above image closer.
Edwige Fouvry
Smaller art by Edwige Fouvry.
Saturation et rareté.
Une pointe de couleur, un trait d’un bleu pur est posé un peu trop haut sur la toile. Juste en dessous, la masse sombre du « Rocher à Belle-Île » attend avec l’impassibilité de celui qui sait que l’œil, inexorablement, finira par revenir à lui. Au milieu d’un ciel pris dans la traîne des nuages, la tâche de lumière ne cesse d’échapper à notre regard, comme une persistance rétinienne qui se déplace avec notre œil et que l’on ne parviendra pas à saisir. Le rocher immobile a rattrapé notre regard. Dans sa permanence aux accents insoutenables d’éternité, il figure une nature qui, sous les coups de pinceaux d’Edwige Fouvry, se rend inhospitalière aux vivants. Tantôt lande pelée soumise au vent qui écorche et découvre la roche sur laquelle la végétation se fixe à grand peine. Tantôt mère à l’étrange luxuriance froide et humide où l’on ne sait plus si le pinceau dissipe la brume ou l’épaissit.
Edwige Fouvry, La colline, huile sur toile, 150×150 cm, 2012 ©
Edwige Foury, Le Rocher à Belle-île, huile sur toile, 150×150 cm, 2012 ©
Edwige Fouvry, Paysage sombre, huile sur toile, 120×100 cm ©
Dans ces paysages désertés par l’homme on voit de temps en temps errer la silhouette d’un promeneur solitaire, les contours rendus sauvages et hirsutes par le vent. C’est la seule présence, sans doute, qui puisse se fondre dans un espace où les formes inertes des falaises rocheuses et la luxuriance morbide des marécages sont autant de signes qui rappellent l’homme à son passé et à la finitude de sa condition. La littérature romantique et gothique a souvent usé de l’association du minéral et du végétal pour signifier une nature qui, cessant d’être source de vie, devenait mère jalouse impatiente de récupérer ses enfants. Cette silhouette que l’on imagine dans les tableaux de la peintre belge peut-elle être autre que celle d’Heathcliff (Heath en anglais signifiant bruyère, lande, et Cliff falaise) parcourant la lande des « Hauts de Hurlevent » d’Emily Brontë, traversant des tableaux où la nature n’accepte plus la présence de l’homme que pour le mener au tombeau où, sur la pierre, le lierre prolongera son étreinte étouffante et stérile?
Edwige Fouvry, La traversée, huile sur toile, 150×200 cm ©
Mais entre les reliefs abrupts de « La colline », un lacis de couleurs semble couler comme une blessure, réintroduisant un mouvement oublié entre les masses homogènes des montagnes: la vie répond à la saturation et à l’écrasante certitude du néant par la fragilité de son trait. La juxtaposition, la confrontation entre les sombres formes écrasantes et le mouvement des traits colorés introduisent chez Edwige Fouvry la possibilité d’un espace en mutation, ouvert par le brouillage des frontières entre figuration et abstraction. Lors de l’ouverture de l’exposition Nicolas de Staël à la Fondation Gianadda (Martigny, Suisse) en 1995, son commissaire Jean-Louis Prat déclarait : « Entre une abstraction qui n’a pour elle que le nom et une figuration qui n’illustre qu’imparfaitement le réel, Nicolas de Staël a exploré jusqu’à l’épuisement le vrai domaine de la peinture dans son essence et son esprit ». Ce domaine, celui de la peinture et de l’art en général, c’est celui où l’homme n’est plus condamné à ne saisir que de la matière inerte. Aux signes de mort présents dans « La colline » et le « Rocher à Belle-Île » répondent le pan de ciel bleu qui s’échappe et le trait coloré qui se dissout et entre en résonnance avec le tout. Situant sa peinture à l’extrême limite entre figuration et abstraction, Edwige Fouvry imagine un espace où l’on puisse fixer l’insaisissable, où le peintre puisse tenir entre les mains autre chose qu’une roche aux reflets sinistres déjà prête à se transformer en cendres.
Edwige Fouvry, Ster Vraz, huile sur toile, 200×150 cm, 2012 ©
Edwige Fouvry, Marécage miroir, huile sur toile, 100×160 cm ©
Edwige Fouvry, La maison, huile sur toile, 120×100 cm ©
La peintre est une nantaise résidant en Belgique . Elle s’empare de ses pastels, dessine à grandes lignes trouées des figures humaines qui évoquent les tableaux d’Egon Schiele. Comme chez le peintre austro-hongrois, le blanc sert souvent de fond, grignote parfois l’espace depuis un coin du tableau; le néant borde les corps, prêt à emplir l’espace que la vie devra déserter. C’est à ce moment critique, précisément, que la peinture d’Edwige Fouvry se met à vibrer, du bruissement d’une nature qui s’éveille à l’incertitude et à la rareté. Ses traits fragiles signent la victoire de l’art qui malgré l’indifférence du temps parvient à graver sa trace dans la neige glacée. Au dernier moment, Edwige Fouvry s’inscrit dans une nature sur le point de geler et que la vie abandonne pour y laisser sa trace en creux et briser le trop plein. Ultime retournement: le trou qu’a laissé la silhouette de l’artiste en partant ouvre un gouffre qui menace d’absorber le néant, empêchant à tout jamais son absolu de s’imposer sans un mensonge.
Edwige Fouvry, Le dîner, huile sur toile, 150×150 cm, 2012 ©
Edwige Fouvry, Le dîner, détail, huile sur toile, 150×150 cm, 2012 ©
Edwige Fouvry, Le dîner, détail, huile sur toile, 150×150 cm, 2012 ©
Edwige Fouvry, Géant 01, huile sur toile, 200×150 cm ©
Edwige Fouvry, Prétendant 01, huile sur toile, 40×40 cm ©
Edwige Fouvry, Prétendant 02, huile sur toile, 40×40 cm ©
Edwige Fouvry, Le piano, huile sur toile, 100×150 cm, 2011 ©
Edwige Fouvry, Mariage, huile sur toile, 150×200 cm, 2011 ©
Edwige Fouvry, Judas, huile sur toile, 120×120 cm, 2012 ©
Edwige Fouvry, Bébé, huile sur toile, 40×40 cm, 2011 ©
Edwige Fouvry, Le couple, huile sur toile, 150×150 cm, 2012 ©
Edwige Fouvry, Jésus et Judas, huile sur toile, 100×120 cm
tableau de Edwige Fouvry.
Art by Edwige Fouvry at Dolby Chadwick Gallery.
"Eurydice01" stylo bille sur papier - 2012 - |
http://edwigef.blogspot.fr/
jeudi 31 janvier 2013
Paris en couleur Autochromes - entre 1900 et 1930
clichés de Paris en couleur directe, pris entre 1907 et 1930 environ.
carreau des Halles 1908 |
Place de la Bourse 1914 - Albert Kahn |
La Bastille 1913 |
Les fortifs... |
14 rue du montparnasse 1909 - Albert Kahn |
Place de la Concorde 1909 - Albert Kahn |
Paris 1928 - Albert Kahn |
exposition aerienne 1909 |
Paris 1918 |
La Madeleine - 29 mars 1914 |
Le procédé Autochrome fut mis au point par les frères Lumière en 1903. La technique se basait sur un composite d'émulsion noir et blanc passées à travers une série de filtres colorés (rouge, bleu, vert), conçus à base de fécule de pomme de terre.
La présence de ces filtres réduisait la sensibilité de l'émulsion, d'où la longueur du temps de pose nécessaire et la difficulté de capturer le mouvement.
Cette technique fut abandonné vers 1935 pour être remplacé par le procédé Kodachrome, puis Agfachrome l'année suivante.
Le banquier Albert Kahn désireux de créer une empreinte de la période, envoya des photographes sur les cinq continent pour créer "Les archives de la Planète". Sa fondation constitue aujourd'hui un fond d'environs 72000 autochromes.
Ces surprenants clichés nous offrent une proximité inattendue avec ce siècle d'écart, que l'imaginaire restitue volontiers en noir et blanc.
Ces photos ont été prises à Paris entre 1900 et 1920 en couleur grâce à un des premier procédés photographique couleur appelé autochrome.
les fortifs
le Trocadero
le pont Alexandre III
place de la concorde
l'entrée de la place des Voges
Les Tuilleries
le marché aux fleurs
les immeubles reconstruis sur les fortifications vers 1935
aux Invalides
le marché aux fleurs
Trophé après la première guerre
[Via, Source]
Ces photos ont été prises à Paris entre 1900 et 1920 en couleur grâce à un des premier procédés photographique couleur appelé autochrome.
les fortifs
le Trocadero
le pont Alexandre III
place de la concorde
l'entrée de la place des Voges
Les Tuilleries
le marché aux fleurs
les immeubles reconstruis sur les fortifications vers 1935
aux Invalides
le marché aux fleurs
Trophé après la première guerre
[Via, Source]
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